Les outils du Lean, un management hérité du Taylorisme
Un nécessaire changement de paradigme
José Gramdi suggère de concevoir l’entreprise comme un système, de coupler l’approche systémique (synergies, totalité, finalités), et l’approche analytique via la résolution des problèmes). Ceci s’incarne dans la logique suivante : penser global, agir local.
L’objectif est de garantir : alignement stratégique, concertation tactique et parfaite synchronisation des activités au niveau opérationnel.
José Gramdi suggère, par ailleurs, qu’il est désormais nécessaire de changer la manière de piloter l’activité, d’évaluer la performance et de construire les plans de progrès.
L’objectif est de garantir : alignement stratégique, concertation tactique et parfaite synchronisation des activités au niveau opérationnel.
José Gramdi suggère, par ailleurs, qu’il est désormais nécessaire de changer la manière de piloter l’activité, d’évaluer la performance et de construire les plans de progrès.
Certification Green Belt
à partir de 219€
Le concept de PIG (Performance Interactionnelle Globale)
Ce dernier introduit ainsi le concept de Performance Interactionnelle Globale où l’entreprise est considérée comme un tuyau de création de valeur. Les activités sont abordées selon leur finalité plutôt que selon leur fonctionnement.
Cette approche permet de focaliser les efforts de chacun pour atteindre des performances collectives, dans une logique de contributions. Dans ce contexte, le management vise un optimum global plutôt que des optimums locaux. La productivité individuelle fait place à l’intelligence collective ce qui met l’organisation en capacité de s’adapter en permanence au contexte et aux attentes clients, en mode agile.
Les outils sont dès lors mobilisés en fonction des finalités.
L’Excellence en production peut se résumer ainsi : "Plus, mieux, plus vite, tous ensemble et dans le respect de notre écosystème".
Cette approche permet de focaliser les efforts de chacun pour atteindre des performances collectives, dans une logique de contributions. Dans ce contexte, le management vise un optimum global plutôt que des optimums locaux. La productivité individuelle fait place à l’intelligence collective ce qui met l’organisation en capacité de s’adapter en permanence au contexte et aux attentes clients, en mode agile.
Les outils sont dès lors mobilisés en fonction des finalités.
L’Excellence en production peut se résumer ainsi : "Plus, mieux, plus vite, tous ensemble et dans le respect de notre écosystème".
- Plus : augmenter le débit grâce à la théorie des contraintes qui permet de cibler les sujets dans une réflexion globale ;
- Mieux : augmenter le niveau de qualité grâce au Six Sigma qui permet d’agir localement pour résoudre des problèmes ;
- Plus vite : augmenter la vitesse grâce au Lean qui permet des réduire les gaspillages et d’accélérer ainsi les processus.
Les Hommes au cœur du dispositif
L’Homme est aujourd’hui l’élément le plus différenciant pour les entreprises.
En conséquence, il faut placer l’Homme et son potentiel créatif au cœur des préoccupations de l’organisation pour atteindre une performance durable en parfaite cohérence avec les préceptes initiaux du Toyota Production System.
Pour concrétiser cet axe fort, José Gramdi propose d’intégrer la main-d’œuvre aux charges globales d’exploitation considérées fixes. Ce qui revient à dire que la démarche d’amélioration n’a pas pour finalité la réduction des effectifs. Cet engagement favorise l’engagement des collaborateurs, alors rassurés sur les objectifs de la démarche.
Dans la suite de son ouvrage, l'auteur propose une méthode et des outils pour mettre en place cette approche par la Performance Interactionnelle Globale.
En conséquence, il faut placer l’Homme et son potentiel créatif au cœur des préoccupations de l’organisation pour atteindre une performance durable en parfaite cohérence avec les préceptes initiaux du Toyota Production System.
Pour concrétiser cet axe fort, José Gramdi propose d’intégrer la main-d’œuvre aux charges globales d’exploitation considérées fixes. Ce qui revient à dire que la démarche d’amélioration n’a pas pour finalité la réduction des effectifs. Cet engagement favorise l’engagement des collaborateurs, alors rassurés sur les objectifs de la démarche.
Dans la suite de son ouvrage, l'auteur propose une méthode et des outils pour mettre en place cette approche par la Performance Interactionnelle Globale.
À propos de l'auteur
Contact : jose.gramdi@utt.fr
Site web : www.interaxys.fr